- Harmonie mentale
- Libérer le potentiel de l’esprit pour le mettre au service du corps
- Mobiliser ses ressources mentales et physiologiques
- Créer et œuvrer pour sa vie dans la liberté d’agir
Pourquoi s’installer au cœur de la pleine Présence ?
- Prendre de la distance sur son système de pensée
Si les pensées nous amènent à l’extérieur de nous, l’écoute de nos ressentis, elle, nous sécurise en notre intérieur. Au delà des pensées de surface construites sur le passé, se trouve la pensée Vraie, la pensée juste. En se laissant guider par les ressentis et en s’imprégnant des sensations dans chaque partie du corps, nous prenons de la distance par rapport à nos pensées, ainsi nous pouvons laisser émerger quelque chose de nouveau et de spontané en soi. Ensemble nous nous rapprocherons de cet espace de paix logé derrière les pensées.
- S’observer pour alléger le corps
J’aime dire que le ressenti est le pont entre le monde de l’esprit et le monde du corps. En effet, le ressenti parle du corps, mais regarde de plus haut. Il englobe donc le corps mais avec un point de vue conscient, détaché. Il permet donc de ne pas s’identifier au corps, de prendre du recul sur lui. Ainsi il nous ramène en position d’observateur. Ici nous sommes la conscience qui observe le personnage. Et libéré de la croyance à n’être que le corps, celui-ci peut alors s’alléger, s’apaiser, laisser la vie circuler librement en lui. En prenant l’habitude de se placer en observateur conscient, nous permettons au corps de mieux se réguler, et de développer son propre système d’auto guérison.
- Identifier ses croyances pour modifier sa réalité
Nous croyons des choses sans nous en rendre compte. Inconsciemment nous sommes donc identifiés à nos pensées et à nos images figées du monde. Et c’est en cela que nous matérialisons sans s’en rendre compte notre réalité. Prendre conscience que seules nos pensées maintiennent cette réalité est l’accès direct à une nouvelle manière de faire et d’être. Reconnaître que le monde est un reflet de nos croyances et accepter que nos croyances donnent un aspect solide au monde nous offre un moyen de ne plus « subir » le monde . Nous devons pour cela reconnaître nos croyances limitantes et les accepter telles qu’elles sont. Ici nous identifions les croyances afin de s’en désidentifier La simple prise de conscience d’une croyance permet de la remettre en question, et petit à petit de lui donner moins d’énergie. En perdant de sa force, notre perception du monde change et nous nous ouvrons alors à de nouvelles expériences de vie.
- Faire la paix avec le mental
Reconnaître et accepter ont été oubliés de notre vocabulaire alors qu’il s’agit là du seul moyen de se rendre libre du mental qui cherche à tout comprendre et étudier. La lutte maintient les difficultés en place, l’acceptation bienveillante dissout les problématiques. Finalement s’offre à nous une possibilité de plus en plus rapide de totalement retourner sa manière de penser, qui ne fait qu’un avec notre manière de voir le monde et donc de le vivre.
- Équilibrer hémisphères droits et gauches du cerveau
Peut-être nous aiderons nous de la visualisation, ce qui dans la nature de l’être est le langage de toute création. La visualisation et le ressenti en appellent aux propriétés de l’hémisphère droit du cerveau. Or l’impact de la société nous a poussé à fonctionner principalement avec l’hémisphère gauche (pensée analytique, raisonnement), nous coupant finalement d’une partie de nous, nous privant de notre complétude. Ces deux hémisphères étant aussi utiles l’un que l’autre, se ré-entraîner à fonctionner avec le droit est un enjeu important afin de se réapproprier notre part créative et artistique.
A travers cette partie nous prenons donc un temps pour ressentir plutôt que de penser, pour écouter l’intérieur plutôt que l’extérieur. En plus de créer un apaisement corporel, nous apprenons à lâcher nos certitudes sur le monde, à remettre en cause notre système de pensée pour s’ouvrir à de nouvelles possibilités, et redevenir créateur-responsable de sa réalité.
« Rien n’exerce plus de pouvoir sur le corps, que les croyances de l’esprit »
Deepak Chopra